Bilan de 2007.
Deux mille sept.
Une année malheureusement mal commencée, avec mes chagrins d'amour habituels, ma tristesse sempiternelle. Descente au fond de la piscine particulièrement en février, à cause de Pierre qui se mettait avec Céline. Et ceci jusqu'avril.
Avril, tout a repris de zéro, j'étais enfin en bon termes avec ma vie, ce que j'attendais depuis bien deux trois ans. Fin avril/début mai, rencontre avec Benoît, et, fin mai, plus précisément le vingt-trois mai, le plus beau jour de ma vie, puisqu'il est entré dedans.
Juin, juillet, août : les plus beaux mois de ma vie. Exquises, ces vacances d'été avec cet adorable et superbe Benoît, notre Blonde Redhead, nos heures passées ensemble à se délecter l'un de l'autre. On s'aimait, vraiment, vraiment ... Et, un super séjour chez Saïd, qui nous a bien requinqués, après toutes ces disputes.
Mais septembre et sa rentrée des cours est arrivée si vite, et a tout gâché pour nous deux. Parce que ma rentrée à Jeanne d'Arc était de loin la meilleure, et les nouveaux amis que j'ai rencontrés sont ceux que je cherchais. Quant à Benoit, il n'était pas/plus heureux avec moi, et il m'était insupportable de rester avec lui, alors je sacrifiais tout ce que j'avais pour que le sourire lui revienne, parce que je l'aimais à en crever. Mais lui, ne m'aimait plus. Effectivement, je n'étais plus son centre du monde. J'en étais bien loin. Cette Camille occupait ses pensée bien avant que tout s'arrête.
Le dix-huit octobre, ma vie et tout ce que j'y avais édifié durant cent quarante-huit jours se sont effondrés. Durant deux mois, j'étais à bout, j'en crevais littéralement. Mais toutes mes amies étaient là, et je les remercie, encore infiniment.
Puis, en décembre, je crois, j'ai vu tout ça d'un autre angle, ai commencé à être dégoûtée de celui que j'avais pourtant aimé si fort. Je me suis épatée dans mon travail avec moi-même, et je crois que je continue à avancer. Sans lui. Moi qui pensais ne pouvoir que reculer ... Et, aujourd'hui, trente et un décembre, je ne me sens pas trop mal.
Avril, tout a repris de zéro, j'étais enfin en bon termes avec ma vie, ce que j'attendais depuis bien deux trois ans. Fin avril/début mai, rencontre avec Benoît, et, fin mai, plus précisément le vingt-trois mai, le plus beau jour de ma vie, puisqu'il est entré dedans.
Juin, juillet, août : les plus beaux mois de ma vie. Exquises, ces vacances d'été avec cet adorable et superbe Benoît, notre Blonde Redhead, nos heures passées ensemble à se délecter l'un de l'autre. On s'aimait, vraiment, vraiment ... Et, un super séjour chez Saïd, qui nous a bien requinqués, après toutes ces disputes.
Mais septembre et sa rentrée des cours est arrivée si vite, et a tout gâché pour nous deux. Parce que ma rentrée à Jeanne d'Arc était de loin la meilleure, et les nouveaux amis que j'ai rencontrés sont ceux que je cherchais. Quant à Benoit, il n'était pas/plus heureux avec moi, et il m'était insupportable de rester avec lui, alors je sacrifiais tout ce que j'avais pour que le sourire lui revienne, parce que je l'aimais à en crever. Mais lui, ne m'aimait plus. Effectivement, je n'étais plus son centre du monde. J'en étais bien loin. Cette Camille occupait ses pensée bien avant que tout s'arrête.
Le dix-huit octobre, ma vie et tout ce que j'y avais édifié durant cent quarante-huit jours se sont effondrés. Durant deux mois, j'étais à bout, j'en crevais littéralement. Mais toutes mes amies étaient là, et je les remercie, encore infiniment.
Puis, en décembre, je crois, j'ai vu tout ça d'un autre angle, ai commencé à être dégoûtée de celui que j'avais pourtant aimé si fort. Je me suis épatée dans mon travail avec moi-même, et je crois que je continue à avancer. Sans lui. Moi qui pensais ne pouvoir que reculer ... Et, aujourd'hui, trente et un décembre, je ne me sens pas trop mal.
L'année se termine bien. Je me rapproche de ceux dont j'avais envie de me rapprocher, j'entretiens de ces liens avec des gens que je n'aurais jamais soupçonnés aussi fantastiques, en particulier un, que je remercie encore.
Et ceux que j'aime ne m'abandonnent pas. Et ils en sont loin. Enfin, je crois.
Et enfin, comment ne pas bien terminer l'année deux mille sept avec dans les oreilles un John Frusciante déchaîné et des Red Hot Chili Peppers toujours aussi formidables ?
Je vous l'demande.
Et ceux que j'aime ne m'abandonnent pas. Et ils en sont loin. Enfin, je crois.
Et enfin, comment ne pas bien terminer l'année deux mille sept avec dans les oreilles un John Frusciante déchaîné et des Red Hot Chili Peppers toujours aussi formidables ?
Je vous l'demande.
Merci à tous et à toutes pour cette année que j'ai adorée.