The hurt's relentless, the hurt of emptiness, the hurt of wanting, the hurt of going on, the hurt of missing, the hurt is killing me...

Publié le par Leya



C'est super, les vacances. Décelez l'ironie dans ma phrase. Tous mes plus beaux amis - ou presque - partent.


Saïd est au Maroc jusqu'au 29 juillet,
Clémence en Espagne et en Croatie jusqu'au 30 août,
Camille à Niort jusqu'au 28 juillet,
Adie partie je n'sais où je n'sais quand,
Martin en Italie jusqu'au 20/25 août,
Pierre-Louis à Centerparcs du 21 au 28 juillet,
Arthur déménage à Dijon le 5 août ='(

Évidemment, d'autres restent, comme Agnès, Claire et Pauline, que je peux voir à foison ; et si vous saviez comme je les aime. Comme Agnès, finalement, m'avait manquée. Comme Claire, décidément, m'avait parue absente (d'ailleurs ma coquine, joyeux anniversaire!!). Et puis, ne pas compter sur Alexia, ni même Cassandre, pour m'appeler, autant pour prendre des nouvelles que pour me voir. Mais bon, on se verra à la rentrée, hein. Et ça me vexe, ça me vexe de n'être trop rien pour elle squand les vacances arrivent. C'pas juste de s'attacher aux gens comme ça.

On n'est pas sortis de l'auberge, j'suis pas prête de profiter de mes vacances, du soleil inexistant. J'deviens nulle, mais nulle... Je m'couche tous les soirs entre 2 et 4h, soit pour ne rien faire, soit pour passer la nuit au téléphone avec Benoit, payer une facture éléphantesque, ou encore à pleurer, écrire, lire... Rien de tellement génial, je ne fais pas la fête jusqu'à ces heures tardives, quoi... Je suis seule, atrocement seule, et tout ça me rend triste, mais triste...

Ce qui peut me rassurer, c'est que je pars à Paris avec ma môman d'amour le 15&16 juillet, càd mardi et mercredi prochains. Voir Leily, ahhhh, ça, ça va être du tonnerre, ça fait si longtemps que je n'ai pas vu ma Leily. Longtemps peut vouloir dire même pas six mois, oui. Et puis le 2 ou 3 août, je m'en vais enfin à Cannes. Enfin je le verrai, ce soleil, enfin je bronzerai vraiment, enfin je serai seule, mais heureuse. Et je les reverrai, Alexia et Mélo, ces deux-là sans qui ma Terre ne tournerait certainement pas aussi bien, ces deux-là que voir une fois par an m'emmerde, ces deux-là qui comptent tant pour moi.

Alors j'espère que ces lourdes semaines de juillet ne vont pas l'être tant que je le pense, j'espère que tout ça va passer vite, que je vais vite vous retrouver, retrouver votre sourire, et donc le mien. Ah, je vous aime, tant qu'il ne sert à rien de compter. Parce quand on aime on ne compte pas. Pas pour rien que je vais en L ; je vous aime trop pour compter quoique ce soit. Mis à part les jours, évidemment.

Revenez vite,
et n'oubliez pas de rapporter mon sourire.

Publié dans Leya's life*

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